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Mis à jour le : 17/01/2022


Au sommaire :

Première réflexion, d’une longue série, des "Sentiers de mémoire virtuelle" :
Atton libéré, le 16 septembre 1944, initiative citoyenne,
abri de la Haie Baraud, en Forêt de Facq, le 12 septembre 2020

Le 16 octobre 2020, témoignage de Jeanine, petite fille de Victor OLIVETAN,
présente dans l’abri en forêt de Facq, Haie Baraud,
en septembre 1944. Elle avait 6 ans.

Rue de Loisy, sentiers des Vanottes et Cachot, le FC-ATTON, retour par la rue de Pont à Mousson

Les ouvrages du Froidmont, randonnée de mémoire, du 7 mars 2021

Le 2 mai 2021, en souvenir d’aviateurs abattus, en mai 1940 :
devoir de mémoire, dans le rayon des 10 kilomètres, au Bois le Prêtre,
consignes sanitaires COVID-19 obligent.

Le 22 août : "Atton, d’hier, @ demain", sentiers de mémoires, à Verdun

    Instant de souvenir réitéré, à l’abri de la Haie Baraud, le 12 septembre 2021

     

    Prochaines réflexions :

    1914/1918 : Atton, en Forêt de Facq, la Baraque des Romains,

    Forêt de Facq, le camp SCHWAEBLE...


    Cette page présente, sur carte, la position des édifices, des sentiers de promenade, des lieux de mémoire, des lieux-dits…à Atton


    Première réflexion, d’une longue série, des "Sentiers de mémoire virtuelle" :
    Atton libéré, le 16 septembre 1944, initiative citoyenne,
    abri de la Haie Baraud, en Forêt de Facq, le 12 septembre 2020 :

    15 septembre 2020 : "Ce bunker qui a protégé leurs parents durant les bombardements"

    Au premier plan, Nicole et André Richit, les propriétaires du terrain où est situé le bunker de 14, sur le ban de la commune de Mousson.
    Photo ER /Emmanuel VACCARO

    Source : Est Républicain, du 16 septembre 2020

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    Dossier de presse proposé à l’Est Républicain, le 12 septembre 2020, par François Iung :

    Atton libéré, le 16 septembre 1944, initiative citoyenne

    Samedi 12 septembre, une petite équipe d'Attonais passionnés d'histoire locale s'est rendue en Forêt de Facq, à proximité du lieu où, en septembre 1944, une quarantaine d'Attonais s'étaient protégés des bombardements avant la libération. Pour honorer leur mémoire, ils ont souhaité se réunir sur ce lieu chargé d'histoire à l'occasion du 76ème anniversaire de la libération d'Atton.

    Attention : l’accès à l’intérieur de ces ouvrages est particulièrement dangereux :
    risque de présence de munitions, de pièges, ou d’animaux sauvages, d’effondrement et d’asphyxie…

    Office national des forêts : face aux chenilles processionnaires du chêne soyez vigilants

    Santé publique France : maladie de Lyme et prévention des piqures de tiques

    Témoignage des jours précédents la libération d'Atton : « Bernard IUNG (1933/2012), en septembre 1944, a 11 ans. Il habite au 20, rue de Loisy, avec sa mère, Marie (gérante de l’alimentation ′La Source′) et sa grand-mère Alphonsine. Son père Gabriel, surnommé Jean, est prisonnier dans un M-Stammlager (Stalag) XII F-Kommando. 1004, en Allemagne.

    En septembre 1944, les Allemands les forcent à creuser des tranchées, dans le jardin. Marie y a juste le temps d’y enfouir quelques objets, dont : du vin et la ménagère de couverts en argent. Puis, ils sont chassés par les Allemands. Ils vont se réfugier, avec une quarantaine de villageois, dans un abri français de 1914, en forêt de Facq, la Haie Baraud. Cet abri, était inondé d’environ une hauteur d’un mètre d’eau. Un tapis de rondins de bois est disposé pour pouvoir y loger. Pendant l’offensive l’abri est bombardé. Du bétail resté dehors est tué. Les hommes rejoignent le village, pour tenter d’arrêter l’incendie, qui se propage vers le nord du village. Les Allemands chassent les habitants de l’abri, vers l’est. S’en suit une marche forcée, pour certains, jusqu’à MORHANGE. Le premier soldat américain que Bernard rencontre, c’est à MORVILLE. Il est prisonnier des Allemands. Il lui offre du chocolat…

    Le 16 septembre, de retour au village, libéré, toutes les maisons de la rue de LOISY ont brulé, depuis le haut du village, jusqu’au numéro 20 et une bombe est tombée dans le jardin. La cache est pulvérisée. Marie, Alphonsine et Bernard vont s’installer dans la cave, qui seule, reste en état. La voute est encore toute chaude.

             

    Après lalibération : 20, Rue de Loisy,                       Rue des Dames, maison Marx

    Bernard évoquait, également, du survol des raids de bombardiers alliés, vers l’Allemagne. Un jour, il voit un bombardier se détacher de sa formation, certainement en difficulté, perdre de l’altitude et larguer son chargement de bombes dans la Moselle. Bernard se rappelait des centaines de poissons morts, remontés à la surface ».

    Commémoration en 1947/48 du séjour forcé, dans l’abri, en forêt de Facq, Haie Baraud (orthographe exact : Haye Bareau, en haut, à droite sur le plan, en haut de cette page), en septembre 1944, lors de lalibération, commentaires manuscrits : Bernard Iung
    (photos prises sur l’abri)

    1 : René Theobald

    2 : Nelly Chevre, née Chartier

    3 : Franca Piccinelli

    4 : Veuve Julia Chartier, née Deloge

    5 : Eliane Fevre, née Chartier, nièce de Nelly

    6 : Marie Iung

    7 : Adrienne Petitjean, née Olivetan

    8 : André Petitjean

    9 : Victor François Olivetan, grand-père de Jeanine Happe

    10 : Séraphin Piccinelli

    11 : Angèle Piccinelli, son épouse, Maman de Jeanine Happe

    12 : Armand Piccinelli

    Ou Paul Gabriel Marchal, père de Jeanine Happe

    13 : Auguste Chèvre

    14 : Michel Marchal, frère de Jeanine Happe

    15 :

    16 : Alain Théobald

    17 : Claude Petitjean ou Bernard Iung ?

    18 : Christian Olivetan, cousin de Jeanine Happe

    19 : Thérèse Théobald ou Jeanine Happe ?

    Identifications :
    -
    Jean-Louis THEOBALD
    - Françoise
    Brionne
    Jeanine Happe
    - François Iung

    1947/1948 : Commémoration Forêt de Facq, Haie Baraud (photo 02) - Source François Iung                 Mis à jour, le 17/10/2020

    1 : Nelly Chevre, née Chartier

    2 : Veuve Julia Chartier, née Deloge (transportée à l’abri, en brouette, par Auguste Chevre

    3 : Eliane Fevre, née Chartier, nièce de Nelly

    4 :

    5 : Marie Iung

    6 : Adrienne Petitjean, née Olivetan

    7 : André (père) Petitjean

    8 :

    9 : Auguste Chevre

    10 :

    11 : Chien blanc revu sur autre photo surement le même jour

    12  :

    13 :

    14 :

    15 :

    16 : Monique Olivetan

    17 :

    18 : André (fils) Petitjean

    Identifications :
    -
    Jean-Louis THEOBALD
    - Françoise
    Brionne
    Jeanine Happe
    - François Iung

    1947/1948 : Commémoration Forêt de Facq, Haie Baraud (photo 02) - Source François Iung                 Mis à jour, le 12/10/2020

    Les identifications de ces trois photos, en fichier PDF

    Madame Julia Chartier, née Deloge, rue de Mousson

    Source : Jean-Louis THEOBALD

    C'est toute la rue de Mousson. Et une famille Respaut de St-Martin,
    Peut-être un autre jour ? (Jeanine Happe)

    1 :André Petitjean

    2 : François Olivetan, son beau-père,

    Ou César Delgrande cousin de Nancy

    3 : Marcel Simothé

    4 : Louis Simothé

    5 : Emile Etienne

    6 : Elodie Etienne, née Franconnet  

    7 : Nelly Chartier, épouse d’Auguste Chevre

    8 : Auguste Chèvre

    9 : Henri Fevre

     

    10 : Eliane Fevre, née Chartier

    11 : Aimé Dervelle

    12 : Augustine, épouse Dervelle

    13 : Madame Etienne

    14 : Marie Petitjean, mère de Claude

    15 : Paulette Basuyaux

    Ou Fernande Delgrande

    16 : Gabriel (Jean) Iung

    17 : Marie Iung, née Braun

    18 : Ninie Petitjean

    19 : Fernande Delgrande

     

    20 : Jeanine Marchal

    21 :

    22 : Charlotte Lamotte

    Ou Alphonsine Iung ?

    23 : Bernard Iung

    24 : Madame Catelin

    25 : André (fils) Petitjean

    26 : Madame Colin (parent d’Emile Etienne)

    27 : Andrée Marchal, née Olivetan

    28 : et à nouveau le chien blanc

    Identifications :
    -
    Jean-Louis THEOBALD
    - Françoise
    Brionne
    Jeanine Happe
    - François Iung

    1947/1948 : Commémoration Forêt de Facq,  Haie Baraud (photo 03) - Jean-Louis THEOBALD                                   Mis à jour, le 17/10/2020

    "Tu es de Atton si…"

    L’Est Républicain (date ?)

    Source : Jean Louis Théobald
    "Tu es de Atton si…"

    La Croix de guerre 1939-1945 aété attribuée à ATTON par le secrétaire d'Etat aux forces Armées, Max LEJEUNE, le 11 novembre 1948, avec la citation suivante à l'ordre du régiment (étoile de bronze) :

    « Village déjà très éprouvé pendant la guerre 1914-1918 par sa situation à proximité immédiate de la ligne de feu ; a payé un tribut exceptionnellement lourd pendant les combats de septembre 1944 pour la libération de la Lorraine.

    Sa population brutalement évacuée par les Allemands, n'est rentrée que pour retrouver les 2/3 de ses maisons totalement détruites et les autres gravement endommagées.

    Avec une résignation admirable, la presque totalité des habitants s'est refusée à quitter le village, préférant s'installer dans ses ruines que de s'expatrier, donnant ainsi le plus bel exemple de courage et d'attachement au sol natal. Deux victimes militaires, trois civiles. »

    Atton fait partie des 209 communes de France à porter sur son blason les deux croix de guerre (1914/1918 et 1939/1945).

    Voir page : Armes d'Atton

    Le 12 septembre 2020, devoir de mémoire, des enfants et petits enfants

    L’abri français de 1914 mesure une quinzaine de mètres de long. Malgré la canicule, il est encore inondé. Il est composé d’un couloir, entre les deux entrées, légèrement orientées, pour éviter le tir en enfilade. Au milieu du couloir, on aperçoit, l’entrée d’une une pièce. Le chapeau, de la buse de ventilation, a disparu.

    Témoin du bombardement, des trous d'obus, encore bien visibles

    En souvenir, une gerbe de chardons de Lorraine a été déposée.
    Il a été trouvé des morceaux de marmite et un éclat d'obus de 155 mm américain.

    Un instant de silence a été observé à la mémoire des trois civils d’Atton morts pendant la Seconde Guerre Mondiale, ainsi que des trois militaires :

    - Richit Paul, le 15/06/1940,

    - Thomas J., le 14/03/1945,

    - Colin G., 28/03/1945.

    Au premier plan, notre Historien local, Pierre Morin et son épouse Pierrette, Paul et Nicole Marsal (propriétaires du site) Nicole, née Richit et sa sœur Andrée, en septembre 1944, s’étaient réfugiées à Morville. Elles sont les filles de Paul Richit, Mort pour la France, le 15/06/1940, à Maranville, en Haute Marne.
    En arrière-plan, les descendants des familles Iung,
    Basuyaux, Geoffroy et Sinteff.

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    Témoignage de Jean Louis Théobald, le 20/09/2020 : L’abri se situait à quelques dizaines de mètres de celui-ci. Actuellement au niveau de l’autoroute, il a été détruit, pour le passage de celle-ci.

    En 1941, devant l'abri, déguisé en bedeau, son frère : Gilbert Théobald

    En venant d’Atton, au bout de chemin de Retonlieu, on entre dans le bois et dans le 2e virage, puis à 100 mètres, on se trouvait sur le bunker enterré, et il y avait beaucoup de muguet; il a été détruit avec la passage de l'autoroute, en 1970.

    Camp SCHWEABLE :
    En haut, la route Atton/Port sur Seille (D76),
    Au centre, la route Atton/Nomeny (D120).

    Journaux des marches et opérations (JMO), 277e régiment d'infanterie
    26 N 736/9
    17 février 1915 - 15 avril 1916

      Lien : MEMOIRE DES HOMMES (élément 36)

       

      Source : Jean-Louis THEOBALD : Elément 36 : Plan du Camp SCHWAEBLE (novembre 1915)

      Camp SCHWAEBLE, hôpital, abri de 15 mètres de long

      Journaux des marches et opérations (JMO), 40e division d'infanterie/
      Groupe de brancardiers
      26 N 338/10
      1er août 1914 - 19 février 1919
      Lien : MEMOIRE DES HOMMES : page 71

      Source : Jean-Louis THEOBALD

      Nous étions devant un abri hôpital, de 1914/1918, à quelques mètres-prêt. De tout cœur avec nos anciens.

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      Non loin de l’abri, passait en 1870 le chemin de fer Rémilly/Pont à Mousson. Il y a 150 ans.
      Mais ceci est une autre histoire...

      Vient de paraître, à lire sur : Tu es de ATTON si...

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      Le 16 octobre 2020, témoignage de Jeanine, petite fille de Victor OLIVETAN,
      présente dans l’abri en forêt de Facq, Haie Baraud,
      en septembre 1944. Elle avait 6 ans.

       

      Avant 1939, Jeanine habite chez ses parents, à Pont à Mousson.

      Son père, Paul Gabriel se bat sur la ligne Maginot, au nord de la Lorraine. A l’armistice de juin 1940, il ne se rend pas, mais rejoint la Zone libre, dans le Périgord, à Sainte Foix la Grande*, à l’Est de Bordeaux.

       

      http://www.ajpn.org/commune-Sainte-Foy-la-Grande-33402.html

      http://www.saintefoylagrande.net/

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Zone_libre#/media/Fichier:France_map_Lambert-93_with_regions_and_departments-occupation-fr.svg

      Victor OLIVETAN, le grand-père, de Jeanine, habitait à l’angle de la rue de Nomeny et de Mousson, actuellement la rangée de garages. Il l’accueille ainsi que sa mère et son frère.

       

      André PETITJEAN, cousin de Jeanine,
      Victor OLIVETAN,

      Jeanine

      Aujourd’hui, l’angle de la rue de Nomeny et de Mousson, à droite la maison détruite, en septembre 1944 n’a pas été reconstruite.

      Son père, Paul Gabriel parviendra à rejoindre Atton, via Paris. Il fut démobilisé.

      L’oncle André, de Jeanine est fait prisonnier en Lorraine, puis en Allemagne. Sans pouvoir donner de ses nouvelles, il ne sera libéré qu’en 1946. Son épouse et son fils seront accueillis à Atton.

      ′La grange des petits chats′ : Le père et la mère de Jeanine les nommaient ainsi, vis-à-vis de leurs enfants. En fait, ils dissimulaient des prisonniers de guerre Français, évadés, dans la grange voisine. Ils les habillaient en civils, détruisaient leur uniforme ′Kriegsgefangener′ (Prisonnier de guerre), les nourrissaient, les lavaient... Puis ils les conduisaient à la gare de Dieulouard, où ils étaient pris en charge par un agent de la SNCF, qui les conduisait, vers Nancy. Ils eurent quelques nouvelles de leurs évadés. Jusqu’au jour où ils apprirent qu’à Nancy, certains étaient arrêtés. L’agent de la SNCF était un ′collabo′

      La ferme d’en face était hermétiquement fermée. Il y avait un grand nombre de prisonniers Russes.

      En 1944, les combats, s’intensifiaient. Au milieu de la nuit retentissait une sirène. Ils devaient immédiatement "se rendre aux abris" : la cave voutée de nos voisins.

      Radio Londres : presque tous les soirs, malgré la ronde des "Germaniques".

      Pendant que la mère de Jeanine confectionnait un drapeau tricolore, un Allemand s’est introduit dans la cuisine. En larmes, il a pris Jeanine dans ses bras. Il sentait la fin proche… La dernière année, les Allemands, particulièrement nerveux, virent installer un gros canon devant la maison.

      « Nous étions insoumis aux Nazis », dans la maison étaient entreposées munitions et artilleries. Il fallait les nourrir. Ils exigeaient qu’on les alimente. Il leur était servi principalement du chou, qu’ils n’appréciaient pas du tout.

      En septembre 1944, la maison était toujours occupée par les Allemands. Un Allemand les supplie de quitter Atton (pour les enfants). Le long de la maison, il y avait des canons qui tiraient sur la côte de Montauville.

      L’exode de septembre 1944 : rassemblés en bas de la rue, le Quartier bas est parti vers la Forêt de Facq, en chantant : "Vous n’aurez pas l’Alsace et la Lorraine". Des avions de reconnaissance les survolaient.

      La grand-mère de l’épouse d’Auguste CHEVRE, Madame CHARTIER avait été transportée dans une brouette, jusqu’à l’abri.

      L’abri la Haie Baraud était plein d’eau (il fut aménagé avec du bois et des fagots), première nuit au-dessus de l’abri.

      L’abri a été tiré par les Allemands.

      Il n’y avait rien à manger.

      Les enfants, dans l’abri, étaient à côté de Madame DOHM, institutrice (Epouse de Pierre DOHM, instituteur, de Pont à Mousson). Elle s’en occupait très bien. Elle leur racontait des histoires et leur faisait même faire du calcul mental… Il y avait, également Madame RESPAUT, de Pont à Mousson, avec son bébé.

      Le Grand-père de Jeanine, s’était fabriquée une hutte, puis une seconde pour Madame CHARTIER et sa fille.

      Bombardements de l’abri. Une vache, attachée, a été tuée, par un éclat d’obus. Les garçons jouaient à identifier les obus (fusants ou percutants…).

      Souvenir de l’abri : un couloir entre deux entrées, un petit renforcement au milieu, où ont été logés les enfants. Il y avait 60 personnes.

      Son père est retourné à la maison rechercher des vivres. Elle avait été détruite.

      A la recherche d’un cheval, pour le manger : il fut tué et découpé au couteau de poche. Il fallait cacher le feu. Le père et la mère de Jeanine partent en quête d’une boulangerie. Ils ont ramené du pain au maïs et au son (très-très dur…).

      Expulsés par 4 Allemands, armés, très nerveux, de l’abri. En partant son grand père a disparu. Il fut fait prisonnier des Allemands en lisère de la forêt.

      Vers Morville à un carrefour : des Allemands partout, encerclaient un autre groupe chassé de la Forêt de Facq, vers une direction inconnue. A Morville, ils furent logés dans une stalle à chevaux, très… souillée. Ils sont obligés de vider des fonds d’emballages de nourriture allemande, pour se nourrir.

      Réapparition du grand-père, à Morville : toujours prisonnier des Allemands.

      Puis, vers Port sur Seille, épargné : logés par la grand-mère paternelle. Un Allemand s’introduit dans leur chambre, complément désemparé. Il s’endort debout. Le lendemain le village est libéré par les Américains.

      Retour dramatique et éprouvant vers Atton : la route de la Forêt de Facq était encombrée de nombreux convois américains. Des Allemands étaient blottis dans les fossés, certains gravement blessés. Les Américains distribuaient du pain délicieux. Atton était sacrifié. 3 bombes avaient eu raison de la maison.

      Quand ils sont revenus, un prêtre est venu dire une messe. L’église avait été pillée. Il a donné la communion dans une boite de conserve.

      A la libération, l’installation des Américains, à Atton :

      Les Américains sont partout. Dans le parc, rue de Mousson, avant la scierie, la cantine, Jeanine se souvient des fameux gouters offerts par les Américains. Nicolas le soldat américain, il coiffe toute la famille. Jimmy, l’opérateur radio, dans sa station avec ses grandes antennes, Jeanine va lui tenir compagnie. Il parle un peu français. Il y a aussi les séances de cinéma, dans une grange, sur la paille.

          

      Et Jeanine.

      Photo : Jean-Louis THEOBALD

      André PETITJEAN, cousin de Jeanine,
      Jeanine,

      Derrière, au centre : Nicolas, le coiffeur

      Photo : Jean-Louis THEOBALD

      La maison détruite, par 3 obus

      De la gauche, vers la droite :
      Michel, le frère de Jeanine,
      Jeanine,

      Claude PETITJEAN,
      4e ??,
      André PETITJEAN (fils),
      6e ?,
      Derrière, un soldat américain.

      Le canon allemand était positionné,juste à l’angle, de la maison

       

      Photo : Jean-Louis THEOBALD

      Derrière la maison détruite
      De la gauche, vers la droite :

      André PETITJEAN (fils),

      Michel, le frère de Jeanine,

      Jeanine,
      Claude PETITJEAN,

      6 soldats américains.

      Le dernier souvenir de Jeanine à Atton, ce sont les colonnes de prisonniers allemands, les mains sur la tête, les convois de camions américains de corps de soldats allemands et d’autres de carcasses de bétail.

      Après la guerre Ses parents ont reçu une lettre manuscrite du Général DE GAULLE, de remercîments, pour avoir participé à l’évasion de prisonniers de guerre français.

      Témoignage recueilli par François IUNG (mon père, ma grand-mère et mon arrière-grand-mère étaient, également, dans l’abri).

      Est Républicain, du 23/10/2020

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      Rue de Loisy, sentiers des Vanottes et Cachot, le FC-ATTON,
      retour par la rue de Pont à Mousson
      avec des photos inédites de postes de secours français de 1914/1918
      (prévoir les bottes)

       

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      Aujourd'hui : le Sentier des Vanottes...

      ...1915 : Atton, route de Loisy, à proximité du Sentier des Vanottes, un poste de secours français
      Source : Jean Paul REINSCH

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       Le verger pédagogique

       

        

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      Aujourd'hui : le verger pédagogique...

       

      ...  2  1915 : Atton, chemin des Vanottes, un poste de secours français
      Source : Jean Paul REINSCH

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      Le passage, sous l’autoroute A313

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      Aujourd'hui, le sentier de Vanottes, en venant du verger pédagogique,
      vers le sentier de Cachot, à droite vue sur Mousson et Atton…

       

      ...  3  à gauche : le 19 octobre 1944, position de fantassins américains

      1944-10, 19 : Harold Fray's brother Charles Fray standing in entrance to his fox hole on the banks of the moselle River.

      Charles Fray, le frère d'Harold Fray, debout devant son trou de renard, sur les rives de la Moselle.

      Source : http://staff.washington.edu/dfray/drupal/node/268

      Voir page :

      Atton 1939/45

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       4

       

      Depuis, le Chemin de Cachot

       

      Des castors

       

       5  La pelouse du FC-Atton

      FC Atton

       6

      Le cadran solaire,
      son panneau explicatif a été vandalisé

      Cadran solaire

      Sous le pont, de la rue de Pont à Mousson,
      en 1914, 1918, il y avait un poste de secours français :

       7  1915 : Atton, le pont, sous la rue de Pont à Mousson, un poste de secours français
      Source : Jean Paul REINSCH

       

      ... semelle de brodequin, de soldat français

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      Les ouvrages du Froidmont, randonnée de mémoire, du 7 mars 2021

      A partir de 1914 : album allemand, principalement du FROIDMONT
      Photos originales, retirées par un Américain de l’Oregon
      Collection : JMP
      Lien

      Dégradation volontaire du panneau explicatif…

      Le même panneau, en 2008...

       

      En 1153, l’évêque Saint Bernard rétablit la paix en ces lieux,
      entre l’armée des Messins et celle du duc de Lorraine.

       

      La chapelle oubliée du Froidmont :

      La chapelle du Froidmont, commémorative de la paix signée entre Messins et Lorrains.

      Par Emmanuel VACCARO - 08 nov. 2015

      Devant la source magique, la chapelle détruite en 1914,
      abrite la statue de Notre-Dame du Froidmont :

      Emplacement de l’ancienne chapelle de Bouxières-sous-Froidmont

       

      Quelques-uns des 115 ouvrages militaires allemands, construits à partir de 1914 :

      1914

       

       

       

       

      L’ouvrage de L'ours gris (Grauer Bär) :

       

       

      Inscriptions américaines de 1918 : MSG CEN :
      Messages centre : centre de transmission

       

      Traduction :

      ′Je suis debout pour mille ans. J'ai été bâti avec du ciment et du fer de haute qualité allemande. Laissez-y tirer les Français avec des obus. Cela ne peut me contrarier, les obus me laissent indifférent. Je veille jusqu'au moment où le ciment et le fer seront réduits en poussière. Je peux me permettre cela, je suis debout pour mille ans′

      A partir de 1914 : album allemand, principalement du FROIDMONT
      Photos originales, retirées par un Américain de l’Oregon
      Collection : JMP
      Lien

      A partir de 1914 : album allemand, principalement du FROIDMONT
      Photos originales, retirées par un Américain de l’Oregon
      Collection : JMP
      Lien

      Autres inscriptions américaines de 1918 : Brooklyn

      Chantier "Jeunes" : reconstitution d'une sortie de l'abri et d'une tranchée

      A partir de 1914 : album allemand, principalement du FROIDMONT
      Photos originales, retirées par un Américain de l’Oregon
      Collection : JMP
      Lien

       

      Monument aux morts : le 07/10/1914, 232e régiment d'infanterie: l’assaut du Froidmont

      Journaux des marches et opérations (JMO),
      232e régiment d'infanterie, du 07/10/1914 (26 N 723/1).

      Couverture :

      https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/e0052797fd0c8196/52797fd0cc32c

      Elément 17 :

      https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/e0052797fd0c8196/52797fd1158e2

      Elément 18 :

      https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/e0052797fd0c8196/52797fd119d73

      Elément 19 : liste des pertes :

      https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/e0052797fd0c8196/52797fd11dc16

      Vestiges 1914/1918 à BOUXIERES SOUS FROIDMONT

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      Le 2 mai 2021, en souvenir d’aviateurs abattus, en mai 1940 :
      devoir de mémoire, dans le rayon des 10 kilomètres, au Bois le Prêtre,
      consignes sanitaires COVID-19 obligent.

      Comme tous les ans depuis 1997, une cérémonie est organisée ce 2 mai, à la mémoire d’un aviateur natif de Norroy lès Pont à Mousson, René MUNIER, abattu le 15 mai 1944, à Monthermé, dans les Ardennes. Comme l’an passé, sa famille n’a pas pu participer, en raison de la crise sanitaire.

      Là où est tombé René MUNIER (à gauche), abattu le 15 mai 1940, au Nord de Monthermé,
      Raymond AUTIER (à droite) est tombé au Sud-Est de Monthermé
      .
      Ils ne furent
      identifiés qu’en octobre 1941.

      Lire le site Internet dédié à René MUNIER, mission du 15 mai 1940

      2020 commémorait le 80e anniversaire de la bataille de France. A cette occasion, la section des anciens combattants de Monthermé, le Souvenir Français et l’Office National des Forêts des Ardennes avaient restauré le site du crash. Ce lieu de mémoire perpétue, également la mémoire de Raymond AUTIER, abattu lors de cette même mission. Cette cérémonie annuelle permet à leurs familles de se retrouver et partager ce moment de mémoire.

      Pour 2021 la nouvelle association "Atton, d’hier, @ demain" avait envisagé un week-end "tourisme de mémoire", à l’occasion de cette cérémonie : visite des Ardennes (Bazeilles, ouvrage de la ligne Maginot de la Ferté, la bataille du Pont de Monthermé…).

      Un deuxième drapeau devait accompagner le fidèle Joseph MICAM, porte-drapeau de Norroy-lès-Pont à Mousson : le drapeau de la Fédération Nationale des Déportés et Internés Résistants et Patriotes (FNDIRP).

      En respectant les consignes sanitaires et dans le rayon des 10 kilomètres, l’équipe de "Atton, d’hier, @ demain", s’est rendue au Bois le Prêtre, pour une première visite, pour certains, suite de la randonnée, dans les ouvrages du Froidmont, du 7 mars dernier, visite guidée par Jean-Marc.

      La mémoire du Capitaine Adrien ASTIER, aviateur a été rappelée. Il a été abattu, également, en mai 1944, le 10, à quelques kilomètres du Bois le Prêtre : à Jaulny. Beaucoup de points communs entre Adrien ASTIER, René MUNIER et Raymond AUTIER : les premiers jours de la guerre éclair, le Blitzkrieg, la même monture (le chasseur monoplace, Marcel BOCH 152), probablement abattus, par le même aviateur allemand, Wolfgang LIPPERT (il est mort en Egypte, le 3 décembre 1941).

      Capitaine Adrien ASTIER, abattu, le 10 mai 1944, en forêt de Jaulny

      Lire le site Internet dédié à René MUNIER, page "Autres pilotes"

      Il s’en est suivi une randonnée commentée, sur les sentiers qui mènent à la Croix des Carmes, la tranchée allemande, la maison forestière du Père Hilarion et la Nécropole nationale du Pétant, ou reposent 13 518 dépouilles. Les terribles combats de septembre 1914 à juillet 1915, dans les bois de Montauville, ont couté la vie de 14 000 Français et Allemands. Il a été rappelé la phrase du discours de Raymond Poincaré, Président de la République, qui remettait la Croix de guerre à la ville de Pont-à-Mousson, le dimanche 23 novembre 1919 :

       « … De toute les visions d’horreur que la guerre m’a offertes,
      c’est au Bois le Prêtre que j’ai vu les plus effroyables… »

      Qu’on ne les oublie pas !

      La Croix des Carmes

      Cicatrices de Guerre : Le Bois le Prêtre

      La seconde vie du chêne mitraillé du Bois le Prêtre :

      La tranchée allemande

       

      La maison forestière du Père Hilarion

      La Nécropole nationale Le Pétant

       

      En souvenir d’un aviateur de Norroy abattu le 15 mai 40

      Par L'Est Républicain - 11 mai 2021 à 16:30

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      Le 22 août : "Atton, d’hier, @ demain", sentiers de mémoires, à Verdun

      Après une visite du Froidmont et du Bois le Prêtre, l’équipe de l’association ′Atton, d’hier, @ demain′ s’est rendue, en excursion, aux Champs de batailles de Verdun, sur les traces d'Auguste CHEVRE (en médaillon), une personnalité d'Atton. Combattant de la grande guerre : « dans les lignes ennemies il réussit à faire 12 prisonniers et à les ramener dans nos lignes ». Il est blessé deux fois. Gazé, il sera laissé pour mort.

      Chacun muni de son pass-sanitaire, la journée a débuté, à l’ouverture du Mémorial de Verdun, que beaucoup n'avaient pas eu l’opportunité de visiter, depuis sa rénovation, à l'occasion du centenaire. Le thème de l’exposition temporaire est, actuellement, la Ligne Maginot.

      https://memorial-verdun.fr/

       

      Point de restauration, par excellence "l'Abri des pèlerins", à côté de l’Ossuaire de Douaumont : superbe accueil et menu, par tous, apprécié, à l'Abri des pèlerins, géré par l’Association départementale des amis et parents d'enfants inadaptés - Meuse. Elle emploie des travailleurs en situation de handicap.

      http://www.adapei-meuse.fr/cuisine-ouverte-sur-le-monde-338.html

      Jean-Luc, bénévolement, nous a présenté le Camp de Froideterre :

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Ouvrage_de_Froideterre

       

       

       

       

       

       

       

      S’en est suivi, un instant de recueillement à la Nécropole nationale française du Faubourg Pavé, là où sont enterrés les 7 inconnus restés à Verdun, après la cérémonie du choix à la citadelle souterraine, le 10 novembre 1920 du soldat inconnu français.

      http://www.paysages-et-sites-de-memoire.fr/site/verdun/

       

      Cette grande journée s’est terminée, par la visite du canon "Marine", et des ouvrages d’Hermeville, avec une multitude d’anecdotes.

      https://parmontsetparforts.fr/2021/02/25/canon-hermeville/

       

       

      Jean-Luc QUEMARD nous présente le site du canon d'Hermeville
      https://www.youtube.com/watch?v=QNM2Bb3oWCs

       

       

      Une belle leçon d’histoire ! Milles merci à Jean-Luc.

      Verdun, le champ de bataille vu du ciel
      de Jean-Luc KALUZKO

      Auguste CHEVRE était intervenu dans les écoles, pour transmettre son vécu. Il est décédé le 4 mars 1978.

      Lire page "Atton 1914/18", le chapitre qui lui est dédié : "Lien"

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      Instant de souvenir réitéré, à l’abri de la Haie Baraud, le 12 septembre 2021

      Cette année, l’opération à l’abri de la Haie Baraud, a été renouvelée

      "Lien" vers l'article : Première réflexion, d’une longue série, des "Sentiers de mémoire virtuelle" :
      Atton libéré, le 16 septembre 1944, initiative citoyenne,
      abri de la Haie Baraud, en Forêt de Facq, le 12 septembre 2020

       

      Rappel : l’accès à l’intérieur de ces ouvrages est particulièrement dangereux :
      risque de présence de munitions, de pièges, ou d’animaux sauvages, d’effondrement et d’asphyxie…

       

       

      Une petite séance de nettoyage du site était la bienvenue.

       

       

       

      Jeanine, qui en septembre 1944, avait 6 ans a séjourné, dans cet abride la Grande Guerre, avant d’être libérée (lire son témoignage : "lien").

      Elle est venue apporter son témoignage, d’une émouvante précision. Elle a partagé ses souvenirs de ce séjour forcé. Elle ajoute que d’autres Attonnais s’étaient, également, réfugiés, dans l’abri qui était en contre-bas du château d’eau et d’autres, encore plus nombreux dans un autre vers Morville.

       

      Elle se souvient de la hutte construite par son grand-père, en lisière du bois, pour surveiller les Allemands ; là où avait dormit Bernard, 11 ans, dehors, à l’entrée de l’abri ; le ravitaillement de l’autre abri, avec la viande du cheval qui avait été tué, au couteau de poche, par quelqu’un, alors qu’il adorait les chevaux…
      Il n’y avait plus à manger.

      Parmi la soixantaine d’occupants de l’abri, il y avait, les familles : RESPAUT et DOHM (de Pont à Mousson), CHEVRE, les Filles FRANIATE (qui habitaient, rue de Nomeny, à côté de l’ancien café), MERCIER, MARCHAL, OLIVETAN, Marie et son fils, Bernard IUNG…

      Le couple SENERS a été tué à Atton. Ils ont été retrouvés après la libération d’Atton. Ils habitaient route de Nomeny à gauche, avant la rue Saint Germain.

      La tuilerie était située à gauche, en sortant de la forêt, route vers sainte Geneviève.

       

      Il s’en est suivi d’uninstant de recueillement, à la mémoire des Attonnais morts pour la France, en 1939/1945. La journée s’est achevée par le partage d’un piquenique, comme en 1947, là, où les Attonnais s’étaient retrouvés.

       

      Milles mercis  à  Nicole et Paul, ainsi qu'à Thierry, pour leur accueil sur leurs terrains

      A droite : en tenue de soldat Américain de la 80th Division US

      Commémoration au pied de l’abri de la haie Baraud
      Par Emmanuel VACCARO,  article du 12 septembre

      Souvenirs au pied de l’abri de la haie Baraud
      Par
      Emmanuel VACCARO,  article du 15 septembre

      MEMORIAL DE MONTORMEL, La campagne de Lorraine, A partir du 11 septembre :

      Lire, également, sur Tu es de ATTON si… les témoignages de Charles LAMOTTE, Gilbert THEOBALD, par Guillaume Jolivet
      & Michel PERRIN, par son fils : Pierre PERRIN

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      Prochaine réflexion :

      1914/1918 : Atton, en Forêt de Facq, la Baraque des Romains :

      Source : Jean-Louis THEOBALD

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      Prochaine réflexion :

      Forêt de Facq, le camp SCHWAEBLE :

      Camp SCHWAEBLE :
      En haut, la route Atton/Port sur Seille (D76),
      Au centre, la route Atton/Nomeny (D120).

      1917, militaires en forêt de Facq

      1914/1918, Atton, en forêt de Facq, l’autel entre les 4 fils Aymon

      Janvier 1916, Atton, en forêt de Facq, baraquement forestier

      1914/1918, Atton, en forêt de Facq

       

      La Margueritte Forêt de Facq, de la Croix de guerre 1914/16

      Source : Jean-Louis THEOBALD

 

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