Cette page est à la disposition des Attonnais, qui désirent faire partager un événement qu'ils ont vécu, en apportant leur témoignage. Il suffit de quelques lignes et de quelques photos, ou un lien vers la source de l'événement. Les photos rejoindront un répertoire d'archives de quelques 8800 photos et documents sur ATTON. La plus ancienne date de 1908. Une manifestation, à venir, peut-être publiée sur les pages "Manifestations : Extérieures ou à Atton". Ces témoignages seront classés par date de l'événement. Leur source sera mentionnée. Si des visages doivent être floutés, merci de bien vouloir le signaler.
Les photos publiées sur cette page sont disponibles Mis à jour le : 11/11/2020 A l’occasion de ce 11 novembre, A l’occasion de ce 11 novembre, Paul
MARSAL rappelle la mémoire de son père, René. René vivait à Raucourt. Pendant la première guerre mondiale, il s’est battu, entre autres, à Verdun et en Italie (en septembre 1917, avec le grade de Maréchal des logis). Il lui est décerné la médaille de la Marne, il est Lieutenant.
René MARSAL, à droite. Il porte la Croix de Guerre. Il
appartient au 248e régiment. Mais plusieurs régiments ont été nommés
par ce numéro : - 248e régiment
d'infanterie territoriale : http://www.genealogie22.com/guerre-14-18/index.php?title=248e_r%C3%A9giment_d%27infanterie
- 248e régiment
d'artillerie de campagne : Historique du 248e régiment d'artillerie de campagne :
guerre 1914-1918 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62280296/f1.item René s’est battu également, pendant la seconde guerre mondiale. Paul se souvient des évacuations
de 1944, à Raucourt. Son père René fut menacé de mort par les soldats allemands. René est décoré après la seconde guerre mondiale (période à confirmer). François IUNG, commémoration du 11 novembre, confinée (11/11/2020). 1915, le Bois le Prêtre, à
gauche un soldat anonyme, à droite Jean IUNG (ou orthographié, parfois avec un
J). Il est fantassin de 2e classe au 42e Régiment
d'Infanterie Territoriale. Il a 36 ans, son épouse tenait l’épicerie, rue de
Loisy, à Atton, son fils Jean, comme lui, avait 9 ans. Le 21 avril 1915, il est
emporté par un éclat d’obus à Maidières… à 5 kilomètres de sa famille. Les soldats
Français du Bois le Prêtre étaient surnommés : les ′Loups du Bois le
Prêtre′. D’octobre 1914 à août 1915, plus
de 130 assauts, 14 000 Français et Allemands y laissèrent la vie. Le Bois
le Prêtre fut un champ de bataille des plus meurtriers. Raymond
Poincaré (président de la République française du 18 février 1913 au
18 février 1920), évoque le Bois le Prêtre : « De toutes les visions d’horreur que la guerre m’a offerte, c’est au
Bois-le-Prêtre que j’ai peut-être vu les plus effroyables. J’y suis allé
plusieurs fois, et j’y ai vu aux premiers jours d’hiver nos soldats merveilleux
d’endurance au milieu de l’humidité et de la boue... » Sur cette cette photographie, le soldat, à gauche, qui était-il ? Un camarade de tranché ? Qu’est-il devenu ? A t’il survécu ? Un anonyme…
Lieux
à visiter : Le Bois le Prêtre au nord de Maidières-Montauville,
la nécropole du Pétant (à la sortie de Montauville, D958). A
lire, absolument : Livre, de Nicolas CZUBAK ′Le Bois le Prêtre,
scènes de vie, scènes de mort sous l’objectif de photographes français et
américains′. Quelques
sites Internet : https://www.geneanet.org/cimetieres/collection/788-necropole-nationale-le-petant http://www.francegenweb.org/wiki/index.php?title=N%C3%A9cropole_nationale_Le_P%C3%A9tant
https://www.lieux-insolites.fr/cicatrice/14-18/bois/bois.htm
https://perehilarion.wixsite.com/association/blank-vc2b4 https://jmpicquart.pagesperso-orange.fr/Poincare.htm http://ty-az.over-blog.com/2014/10/bois-le-pretre-la-croix-des-carmes.html https://forum.pages14-18.com/viewtopic.php?t=15823 … Jean IUNG était mon arrière-grand-père.
Il a laissé cette photographie et son nom sur le Monument aux Morts d’Atton. Qu’on
ne les oublie pas ! Véronique, Auxiliaire de Vie Sociale (01/11/2020). Diplômée d'état depuis 2008. Publié, par Véronique Pochet, sur "Tu es de ATTON si...", le 1er novembre 2020
Service d’aide aux devoirs & baby-sitting Bonjour, Je propose mes services d’aide aux devoirs (primaire et collège)
et de baby-sitting sur les mois d’octobre et novembre. Je peux également donner des cours de mathématiques, physique et chimie aux collégiens. Diplômes : ingénieur chimiste,
BAFA Expériences dans l’animation et la
garde d’enfants : colonies de vacances, centres de loisirs, fille au pair,
baby-sitting… Je peux me déplacer dans les
alentours de Pont-à-Mousson sans problème. N’hésitez pas à me contacter au 06 69 37 71 20 pour toutes informations complémentaires. Julie DEVELOTTE Publié, par François Iung sur "Tu es de ATTON si...", le 13 septembre 2020 : Bonjour à tous, Vous m'avez, sans doute, déjà remarqué à arpenter les rues d'Atton,
accompagné de labradors, tous plus beaux les uns que les autres. Ils appartiennent à l'association "Chiens Guides de l'Est", de
Woippy. Il sont destinés à être remis gracieusement à des non-voyants. Cette année, COVID-19 oblige, les portes ouvertes seront virtuelles. Elles commencent aujourd'hui sur : Le jeune Paddock (8 mois), c'est le plus beau. Il le sait et il en profite... Portes ouvertes virtuelles pour les chiens-guidesDossier de presse proposé à l’Est Républicain, le 11 août 2020, par François Iung : La famille d’accueil d’Atton a repris du service à
l’association chiens guides de l’Est, de Woippy. De
nouveau, et ce depuis le week-end du 14 juillet, c’est déjà trois Labradors de
l’association chiens guides de l’Est, de Woippy, qui arpentent les rues d’Atton
et de Pont à Mousson. Il y a eu Pitch (couleur caramel), de 16 mois, très sérieux et bien avancé dans son éducation. Par exemple, l’escalier de bois, très escarpé, qui descend du Château de Mousson, vers Pont à Mousson, Pitch, à chaque marche, marque un temps d’arrêt et interroge son maitre du regard, d’un air de dire « c’est bon, tu suis ? ». Le jeune Pandore, noir de 8 mois est encore bien anxieux. Paco, couleur sable, à seulement 10 est très prometteur et parfaitement éduqué à la maison. Fin août, c’est Paddock, magnifique couleur bronze, qui va séjourner à Atton. La particularité des Labradors de l’association chiens guides de l’Est, de Woippy, c’est qu’ils sont tous plus beaux, les uns que les autres… Pitch…
Pandore Paco Le
but de la famille d’accueil est l’éducation, à la maison, mais aussi de
sociabiliser le jeune chien : l’habituer à toutes formes bruits de la
circulation, parfaire sa tenue dans les établissements recevant du public et
leur… propreté. Il est identifié par un gilet bleu et est détenteur d’une carte
d’entité justifiant son statut de chien d’assistance, dès son intégration à
l’association, à l’âge de deux mois. Confinée
pour cause de COVID-19, l’association chiens guides de l’Est, de Woippy a dû
répartir ses élèves auprès de familles bénévoles disponibles à temps complet.
L’éducation s’est poursuivie sous une nouvelle forme : la téléformation.
Les séances de sensibilisations n’ont pas encore reprise. Le samedi avant le
confinement, le supermarché Match de Pont à Mousson, comme en 2019 avait eu la
gentillesse de nous accueillir pour une nouvelle journée de présentation, ainsi
que le club canin, fin mai. Ces démonstrations ne sont que partie remise, quand
la situation le permettra. Le but de ces sensibilisations est : - de
faire connaitre de but de l’association : remettre gracieusement
des chiens guides d’aveugles, - recruter
des bénévoles : familles d’accueil (pour les tout-petits, le soir et (ou)
le week-end, relais), participer à des tâches administratives et la
participation à l’animation des stands d’information. - l’appel à dons, essentielle source de revenus de l’association. Pour
cause de COVID-19, cette année le grand rendez-vous annuel des portes ouvertes
aura une autre dimension. Elle sera virtuelle, en 2.0. L’équipe vous réserve
bien des surprises… Pour
toutes informations complémentaires, merci de bien vouloir vous connecter sur http://www.chiens-guides-est.org/
Céline & François Iung, d’Atton Article paru, le 19 août 2020 à 17:37 Vendredi 8 mai 2020 : Commémoration du 75e anniversaire de la Victoire du 8 mai 1945. Message
du Président de la République : Ce 8 mai ne ressemble pas à
un 8 mai. Il n’a pas le goût d’un jour de fête. Aujourd’hui, nous ne pouvons
pas nous rassembler en nombre devant les monuments de nos villes, sur les
places de nos villages, pour nous souvenir ensemble de notre histoire. Malgré tout, la Nation se
retrouve par la pensée et les mille liens que notre mémoire commune tisse entre
chacun de nous, cette étoffe des peuples, que nous agitons en ce jour dans un
hommage silencieux. C’est dans l’intimité de nos
foyers, en pavoisant nos balcons et nos fenêtres, que nous convoquons cette
année le souvenir glorieux de ceux qui ont risqué leur vie pour vaincre le
fléau du nazisme et reconquérir notre liberté. C’était il y a 75 ans. Notre continent refermait
grâce à eux le chapitre le plus sombre de son histoire : cinq années d’horreur,
de douleur, de terreur. Pour notre pays, ce combat
avait commencé dès septembre 1939. Au printemps 1940, il y a 80
ans, la vague ennemie avait déferlé sur les frontières du Nord-Est et la digue
de notre armée n’avait pas tenue. Nos soldats pourtant
s’étaient illustrés à de nombreuses reprises. Ceux de Montcornet, d’Abbeville,
de Gembloux ou de Stone, les hommes de Narvik, les cadets de Saumur, l’armée
des Alpes avaient défendu avec vigueur notre territoire et les couleurs de
notre pays. Ils sont « ceux de 40 ».
Leur courage ne doit pas être oublié. Dans le crépuscule de cette
« étrange défaite », ils allumèrent des flambeaux. Leur éclat était un acte de
foi et, au cœur de l’effondrement, il laissait poindre la promesse du 8 mai
1945. Cette aube nouvelle fut
ensuite conquise de haute lutte par le combat des armées françaises et des
armées alliées, par les Français Libres qui jamais ne renoncèrent à se battre,
par le dévouement et le sacrifice des Résistants de l’Intérieur, par chaque
Française, chaque Français qui refusa l’abaissement de notre nation et le
dévoiement de nos idéaux. La grande alliance de ces
courages permit au Général DE GAULLE d’asseoir la France à la table des
vainqueurs. La dignité maintenue,
l’adversité surmontée, la liberté reconquise, le bonheur retrouvé : nous les
devons à tous ces combattants, à tous ces Résistants. A ces héros, la Nation
exprime son indéfectible gratitude et sa reconnaissance éternelle. Le 8 mai 1945, c’est une
joie bouleversée qui s’empara des peuples. Les drapeaux ornaient les fenêtres
mais tant d’hommes étaient morts, tant de vies étaient brisées, tant de villes
étaient ruinées. A la liesse succéda la tristesse et la désolation. Avec le
retour des Déportés, les peuples découvrirent bientôt la barbarie nazie dans
toute son horreur… Rien, plus jamais, ne fut
comme avant. La fragilité révélée de nos
vies et de nos civilisations nous les rendit plus précieuses encore. Au bout de
cette longue nuit qu’avait traversée le monde, il fallait que l’humanité
relevât la tête. Elle venait de découvrir horrifiée qu’elle pouvait s’anéantir
elle-même et il lui fallait désormais refaire le monde, de fond en comble, ou à
tout le moins « empêcher que le monde ne se défasse », selon le mot de
Camus. Ce fut l’heure, en France,
de l’union nationale pour fonder « les beaux jours » annoncés par le Conseil
National de la Résistance et bientôt retrouvés. L’heure, en Europe, de
l’effort commun pour bâtir un continent pacifié et fraternel. L’heure, dans le monde, de
construire les Nations unies et le multilatéralisme. Aujourd’hui, nous
commémorons la Victoire de ce 8 mai 1945, bien sûr, mais aussi, mais surtout,
la paix qui l’a suivie. C’est elle, la plus grande
Victoire du 8 mai. Notre plus beau triomphe. Notre combat à tous, 75 ans
plus tard. Vive la République ! Vive la France ! Emmanuel Macron
Source : François Iung Mercredi 25 mars 2020 :
Source : Julie Develotte Vendredi 21 février 2020 : Sauver le soldat "Pommier" Source : Thierry Sinteff
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